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La République démocratique du Congo, par le biais du Service Géologique National du Congo (SGNC), a signé un accord avec la société japonaise Solafune pour l'introduction de la technologie de télédétection des données satellites et géospatiales ainsi que la technologie d'intelligence artificielle dans l'exploration et l'exploitation des ressources minières.
À l'occasion de la 9ᵉ Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l'Afrique (TICAD9), tenue à Yokohama (Japon) du 20 au 22 août 2025, la République démocratique du Congo a franchi une nouvelle étape dans la modernisation de son secteur minier.
Selon une dépêche émanant de la cellule de communication du ministère congolais des Mines, la première phase d'un accord majeur entrera en vigueur dans les prochains jours. Ce partenariat introduit en RDC une plateforme technologique intégrant la télédétection par satellite, l'analyse géospatiale et l'intelligence artificielle. Ces outils permettent aux géologues congolais d'avoir accès à des moyens modernes et performants pour améliorer leur connaissance du sol et du sous-sol, facilitant notamment l'identification de nouveaux gisements miniers.
Le ministre des Mines, Louis Watum Kabamba, présent lors de la cérémonie de signature, a souligné que près de 90 % du sous-sol congolais reste encore inexploré. Il a privilégié cette avancée technologique comme une étape majeure dans le processus de transfert de compétences au bénéfice des services techniques nationaux.
Le ministre également encouragé le Service géologique national du Congo (SGNC) à exploiter pleinement cette innovation pour élargir la cartographie minière et favorise pleinement cette innovation pour élargir la cartographie minière et favoriser la découverte de nouveaux dépôts à travers le territoire national.
Selon lui, chaque nouveau gisement identifié représente une opportunité de créer une nouvelle mine, génératrice de richesse, au profit des populations congolaises.
Crédit : https://7sur7.cd/2025/08/25/mines-la-rdc-et-une-societe-japonaise-signent-un-accord-sur-la-technologie-de
Rédaction Kuvuk